Protections pour le cerceau aérien : éviter brûlures et les bleus
Introduction : pourquoi se protéger en cerceau aérien ?
Si tu pratiques le cerceau aérien, tu sais exactement de quoi je parle : les brûlures sur la peau, les bleus qui apparaissent sans prévenir, et cette petite douleur qui te fait grimacer en redescendant… Ça fait presque partie du folklore, non ?
Mais voilà le truc : se protéger, ce n’est pas « être fragile ». C’est juste être malin. Parce que plus tu réduis ces petites blessures, plus tu peux t’entraîner longtemps et progresser sans te crisper. Et honnêtement, ça change tout !
Ah, et parlons du fameux cerceau tapé (recouvert de tape) : il a ses fans et ses détracteurs. Oui, il permet de moins glisser, mais en contrepartie, le contact direct du tape avec la peau peut provoquer des brûlures par frottement, surtout quand la peau frotte sur le cerceau.
Bref, crois-moi : avec le bon équipement, ton corps te dira merci… et tu auras moins l’impression de sortir d’un combat de sumo après chaque entraînement.
Les protections très utiles pour le bas du corps
Si tu débutes le cerceau aérien, prépare-toi : tes jambes vont vite devenir une carte géographique de bleus et de petites marques. Et franchement… ça peut vite décourager. Heureusement, il existe des protections simples qui font une énorme différence.
Les jambières (leg warmers)

Ah, les jambières… Un allié pour protéger ses genoux. Et franchement, ça ne coûte presque rien. Tu peux en trouver pour trois fois rien sur plein de sites ou en magasin. Pas besoin d’investir dans du haut de gamme pour que ce soit efficace !
💡 Astuce : on ne les porte pas toujours « à la danse classique ». Dans l’aérien, je les remonte souvent au-dessus niveau des genoux, pour protéger l’arrière du genou, surtout en trapèze ou dans certaines suspensions au cerceau. C’est discret, efficace… et tes articulations te diront merci.
Les genouillères (ou orthèses de genoux)

Alors là, si tu fais des suspensions « 1 jambe / 1 jarret », tu sais à quel point ça peut être brutal. Sans protection, tu ressors avec une marque rouge qui met deux jours à disparaître… minimum. Les genouillères fines, c’est la solution parfaite pour amortir un peu tout ça, sans gêner la prise sur le cerceau.
J’ai aussi testé une orthèse de genou légère pour les roulades type montées russes avant ou arrière. Résultat ? Moins de douleur, plus de fluidité… et je n’ai plus cette sensation d’appréhension avant de lancer le mouvement.
Quand les utiliser ?
Les protections pour le cerceau aérien peuvent vraiment aider quand la douleur commence à t’empêcher de t’entraîner. Par exemple, pendant l’apprentissage des rouleaux russes ou des premières suspensions genoux, elles permettent de continuer à pratiquer plus longtemps sans être stoppé par la douleur.
C’est une aide précieuse pour progresser, surtout au début, mais il ne faut pas en faire une habitude. À force, le corps a besoin de s’habituer au contact direct du cerceau : la peau se renforce, les appuis deviennent plus précis et les sensations plus fines.
En résumé : les protections, c’est un soutien pour t’aider à t’entraîner plus longtemps — pas une solution permanente.
Les protections pour le haut du corps
Si tes jambes prennent cher, attends de voir ce que tes coudes vont te dire après quelques séances… 😅
Les orthèses pour les coudes

Franchement, les suspensions coudes, c’est un peu comme un rite de passage : tu souffres, tu râles… puis tu découvres les orthèses, et là, révélation !
Personnellement, j’aime bien les utiliser parce que quand je fais du sport, j’ai vite chaud, et je préfère m’entraîner en t-shirt plutôt qu’en manches longues. Du coup, les protections de coudes sont une bonne alternative : elles protègent sans avoir besoin de porter des manches longues.
Je ne les utilise pas tout le temps, mais elles deviennent presque indispensables quand tu travailles des rolls (ces mouvements où les coudes frottent beaucoup contre le cerceau). Dans ces cas-là, elles permettent d’éviter les brûlures et de continuer à t’entraîner sans douleur.
Par contre, c’est bien aussi de s’habituer au contact direct de la peau sur le cerceau, pour renforcer la tolérance et améliorer les sensations. L’idée, c’est vraiment de trouver un équilibre : se protéger quand il faut, mais laisser aussi le corps s’adapter.
Gants ou protections pour les mains

Alors, soyons clairs : je n’utilise jamais de gants quand je fais du cerceau aérien. Je préfère toujours la prise directe avec le métal.
Mais il y a des périodes où je m’entraîne tellement souvent que j’ai vraiment trop de corne sur les mains, et là… ça devient douloureux. Dans ces cas-là seulement, j’enfile des gants de musculation pour pouvoir continuer à m’entraîner sans me blesser davantage.
C’est vraiment une solution ponctuelle, juste pour soulager un peu les mains quand la peau est trop abîmée.
Mon kit perso : mes protections pour le cerceau aérien
Voici ce que j’utilise personnellement comme protections pour le cerceau aérien. Rien d’excessif : juste l’essentiel pour soulager les zones les plus sollicitées sans gêner les mouvements, et continuer à s’entraîner confortablement.
🖤 Protection pour les mains – Armure noire pour callosités (Etsy)
Je n’utilise presque jamais de gants, mais quand j’ai vraiment trop de corne sur les mains et que ça devient douloureux, ceux-là me sauvent la séance. Ils me permettent de continuer à m’entraîner sans arracher la peau, tout en gardant une bonne prise sur le cerceau.
💪 Protection pour les coudes – Protection aérienne pour coudes (Etsy)
Je les porte uniquement quand je travaille des rolls ou des figures où les coudes frottent beaucoup. Ces protections pour le cerceau aérien sont une bonne alternative quand tu veux éviter les manches longues tout en protégeant la peau. Je les trouve parfaites pour soulager les frottements sans gêner le mouvement.
🦵 Genouillères – Support pour le genou (Dollar Royal)
J’en ai deux comme celles-ci. Je les mets quand je travaille les suspensions genoux ou les rouleaux russes, quand la peau commence à être sensible. Ces protections pour le cerceau aérien me permettent de continuer à m’entraîner sans m’arrêter à cause de la douleur. Je ne les garde pas tout le temps : le plus souvent, je m’entraîne sans.
